Virage à 180 degrés pour le réalisateur Ruben Fleischer ! Après la comédie horrifique Bienvenue à Zombieland, il s’attaque au film de gangster de la grande époque ! Bienvenue dans le Los Angeles des années 1940, ses voitures d’époque, ses grandes avenues, ses bars, ses gangsters, son administration corrompue et sa poignée de policiers irréductibles qui choisissent de combattre le mal par le mal en utilisant des méthodes pas vraiment dans le cahier des charges de la ligue des droits de l’homme ! Il s’agit de l’histoire vraie du combat que mena le sergent John O’Mara contre le chef mafieux Mickey Cohen. Manifestement, le réalisateur est doué pour l’éclectisme car tout fonctionne : le casting prestigieux excelle (même Sean Penn en gangster colérique est convaincant), la mise en scène est époustouflante (même si on peut regretter l’abus de ralentis), le rythme est prenant, l’humour fait mouche. Une recette efficace mais connue. C’est très simple, tous les clichés du film de gangster sont présents : le chef mafieux impitoyable, le vieil officier de policier incorruptible, le chef dur à cuir, le chien fou, le quota ethnique et bien sûr la jolie pépée de service (Emma Stone). Les péripéties sont tout aussi prévisibles, d’autant plus qu’elles empruntent sensiblement aux Incorruptibles de Brian De Palma, déjà basé sur des faits réels. Et pourtant, on se passionne de bout en bout pour les aventures de cette poignée de braves. Certains leur reprocheront leurs méthodes douteuses qui les font ressembler à ceux qu’ils combattent (paradoxe relevé dans le film), mais il faut rappeler qu’ils n’agissent ainsi que par contrainte face à un système corrompu, et aussi pour sauver leurs familles.
Virage à 180 degrés pour le réalisateur Ruben Fleischer ! Après la comédie horrifique Bienvenue à Zombieland, il s’attaque au film de gangster de la grande époque ! Bienvenue dans le Los Angeles des années 1940, ses voitures d’époque, ses grandes avenues, ses bars, ses gangsters, son administration corrompue et sa poignée de policiers irréductibles qui choisissent de combattre le mal par le mal en utilisant des méthodes pas vraiment dans le cahier des charges de la ligue des droits de l’homme ! Il s’agit de l’histoire vraie du combat que mena le sergent John O’Mara contre le chef mafieux Mickey Cohen. Manifestement, le réalisateur est doué pour l’éclectisme car tout fonctionne : le casting prestigieux excelle (même Sean Penn en gangster colérique est convaincant), la mise en scène est époustouflante (même si on peut regretter l’abus de ralentis), le rythme est prenant, l’humour fait mouche. Une recette efficace mais connue. C’est très simple, tous les clichés du film de gangster sont présents : le chef mafieux impitoyable, le vieil officier de policier incorruptible, le chef dur à cuir, le chien fou, le quota ethnique et bien sûr la jolie pépée de service (Emma Stone). Les péripéties sont tout aussi prévisibles, d’autant plus qu’elles empruntent sensiblement aux Incorruptibles de Brian De Palma, déjà basé sur des faits réels. Et pourtant, on se passionne de bout en bout pour les aventures de cette poignée de braves. Certains leur reprocheront leurs méthodes douteuses qui les font ressembler à ceux qu’ils combattent (paradoxe relevé dans le film), mais il faut rappeler qu’ils n’agissent ainsi que par contrainte face à un système corrompu, et aussi pour sauver leurs familles.